Pourquoi faut-il plus de femmes en technologies ? Par Chloé Freslon

Cet article a initialement été écrit pour le magazine La Gazette des Femmes par Chloé Freslon, co-fondatrice et présidente du manifeste pour les femmes en technologie. Lire l’article dans son intégralité.

Chloé Freslon est chroniqueuse radio à Moteur de Recherche (anciennement La Sphère) sur ICI Radio-Canada Première et blogueuse au journal Métro. Depuis plusieurs années, Chloé s’est donnée pour mission de convaincre les femmes qu’elles ont leur place dans le domaine des technologies et les entreprises qu’elles ont besoin de plus de femmes. Dans cet article, elle nous explique ce qu’elle leur démontre.

Les chiffres sont sans appel, les femmes sont sous-représentées dans le domaine des technologies au Québec (et ailleurs). Cet écart commence dès l’université et persiste donc sur le marché du travail.

Une pénurie de main-oeuvre en TI

La demande dans ce secteur est forte et l’offre n’est pas en mesure d’y répondre assez vite. Le Québec et toute l’Amérique du Nord font face à une pénurie de main d’œuvre en technologie de l’information (TI) alors imaginez comment les femmes, qui représentent moins d’un tier des salariés en TI pourraient contribuer à la compétitivité du Québec…

Diversité = Productivité

D’après plusieurs études menées sur le sujet, plus la diversité d’une entreprise technologique est grande, plus ses rendements sont élevés. D’après une étude de Morgan Stanley, les entreprises technologiques les plus inclusives ont rapporté en moyenne 5,4% de plus que les entreprises qui le sont moins. Les entreprises se privent donc de beaucoup de revenus supplémentaires en ne choisissant pas la voie de la diversité !

Penser trop étroit comporte des risques

De nos jours, la technologies est présente dans toutes les sphères de nos vies. Vue son importance, elle ne peut pas ignorer les femmes. Au risque de faire de la discrimination en concevant des produits de consommation qui ne tiennent pas compte de la moitié de la population…

Lire la suite de cet article écrit par Chloé Freslon, depuis sa source originale sur La gazette des femmes.